Interview Gisèle Jeuris
Nous avons eu le plaisir de rencontrer Gisèle Jeuris, qui a commencé la radio à Liège sur Bois de Breux, qui est devenue par la suite radio Contact . Notre invitée a elle aussi a poursuivis sa carrière dans la radio du dauphin bleu, au point d’avoir comme beau-frère Francis Lemaire le fondateur de radio Contact.
Comment avez-vous découvert les radios libres ?
Avant d’en faire vous-même quel était votre rapport avec la radio ?
Est ce que c’était facile à l’époque pour une jeune fille de faire de la radio ?
Gisele Jeuris en animation extérieur pour radio Bois de Breux
Nous allons écouter un extrait de Radio Bois de Breux et vous réagissez après …
Comment vos parents réagissaient au fait que la radio était une activité illégale ? (Les radios libres étaient interdites mais tolérées jusqu’en 1986)
à Partir de 1982 / 83 c’est l’arrivée de la publicité commerciale sur les radios, comment cela se passait sur Radio Bois de Breux ?
extrait de « Liège loisir » date inconnue
Comment c’est passé votre arrivée sur Radio Contact ?
Justement comme vous parlez de votre fille que lui diriez -vous si elle vous disait qu’elle veut faire de la radio ?
D’autres invitées nous on fait part de certains harcèlement dans la cadre de leur travail en radio, est ce que cela a aussi été votre cas ?
Vous avez aussi fait un peu de télé…
Justement comment avez-vous géré votre notoriété ?
Avez-vous eu des propositions pour faire de la radio ailleurs ?
Est ce qu’il y a moyen de vivre comme animateur radio, ou faut-il avoir des activités annexes ?
Pensez-vous que Deezer ou Spofify soient un danger pour la radio ?
Etes-vous nostalgique des radios libres ?
Aujourd’hui vous écoutez quoi ?
On imagine qu’à Contact vous avez du connaitre des saisies d’émetteurs ?
Vous nous avez expliqué avoir été productrice, cela consiste en quoi ?
Bonus: Quelques publicité produites par Gisèle Jeuris
Vous changeriez quoi dans votre parcours radiophonique ?
Auriez-vous une anecdote à nous raconter ?
Comme toujours nous terminerons cette interview par ce que vous pensez de notre travail d’archivage radiophonique ?