Interview José Gauthier (40 ans de radio à Bruxelles)

 

 

 

 

Nous avons eu le plaisir de rencontrer José Gauthier, qui célèbre ces 40 années de présence en radio. A travers l’interview qu’il a bien voulu nous accorder c’est toute une partie de la riche histoire des radios libres qu’il nous a donné l’occasion de (re) découvrir . L’interview s’est faite via Zoom ce qui peut expliquer par moment certains « heurts » dans le son.

Quand et comment avez-vous fait connaissance avec les radios libres ?

 

Et comment s’est passé la suite ?

 

Vous avez donc dû apprendre à « faire de la radio » comment cela s’est il passé ?

 

Par quel genre d’émission avez-vous commencé ?

 

Vous utilisiez vos propres disques, où ils étaient fournis par la radio ? 

 

Vous nous avez dit acheter beaucoup de musique funky, étiez-vous inspiré par une radio ou un animateur en particulier ? 

 

Vous nous avez parlé des radios où vous avez eu la chance d’animer, y en t’il où on a pas voulu de vous ?

 

Aviez vous eu l’occasion d’avoir de relations proches avec les auditeurs ? 

 

En 1982 c’est l’arrivée des premières publicités à la radio, Est ce que cela a changé quelque chose dans votre manière d’animer ? était ce un critère pour choisir une radio qu’il y ait ou non de la publicité ?

 

Et l’arrivée de l’informatique en radio, cela a modifié votre façon de travailler ?

 

Selon vous pourquoi y a t’il si peu de femmes qui ont animés en radio ? 

 

Y a t’il une émission qui vous tente et que vous n’avez pas encore eu l’occasion de présenter ? 

 

En jetant un oeil sur ces 40 ans de radio, est ce que vous êtes nostalgique de l’époque du début des radios libres ?

 

Avec toute cette expérience acquise en radio, avez-vous déjà eu envie de créer votre propre radio ?

 

Est ce que pour vous les web radio sont un peu les radios libres des années 80 ?

 

Est ce que vous conseilleriez à un jeune qui vous le demanderait, de faire de la radio aujourd’hui ?

 

40 ans de radio, ca vous apportez quelque chose dans votre vie d’aujourd’hui ?

 

Pour terminer nous avons demande à notre invité ce qu’il pensait de notre travail d’archivage